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Le four à brique
Si ce n'est lui, c'est bien son frère
Bruleur de poumons, suceur de sang.
Pauvre Grand-père.
Dans un four à brique de ce genre mon grand-père a laissé sa santé atteint d'une silicose à force de manier des briques crues et cuites et de charger de jour comme de nuit le charbon pour entretenir la cuisson.
Il faisait 12 km pour se rendre à son travail, été comme hiver, d'abord en vélo, puis en mobylette.
Il rentrait noir de charbon comme un mineur, noir de cette poussière qui s'infiltrait dans chaque pore de son corps.
P.S. L'image d'hier n'est pas ma création mais la photo d'une œuvre sur les murs de la rue de l'Hermitage à Paris
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Commentaires
Bonjour Annie,
un mauvais souvenir , beaucoup avec le charbon y ont laissé leur santé.
Bonne journée, gros bisous,
Nadine
C'est bien triste pour ton grand-père.
Mais aujourd'hui, quel beau témoignage du passé ce four à brique.
Passe une belle journée, Annie
Une image et des mots très simples pour un bel hommage à une vie de labeur délétère et à ce mélange jour après jour de résignation im posée et de courage ...
Bises .
Bonjour Annie
S'il n'avait pas fait autant de dégâts sur la santé des Humains on le trouverait beau !
Merci pour le partage
Bises, bonne journée
respect pour ton grand Pére
nos aieux ont trimés dur , nous leur devons ce que nous sommes aujourdhui
bonne journée Annie
bises
La dure vie de nos aïeux, bien différentes de la nôtre. Pas de congés payés, pas de sécurité sociale, pas d'allocations familiales. Une vie de labeur, une vie à compter les sous pour être sûrs de pouvoir manger encore à la fin du mois et à prévoir l'imprévu. Et pourtant, une vie où l'on savait encore sourire et se parler.
Merci de partager une part de toi avec l'histoire de ton grand père
bonne journée Annie
Bonsoir Annie.
Eh oui, la silicose a emporté beaucoup de mineur de charbon.
On ne pense pas à ceux qui le chargeait dans les fours.
Et les cheminots à vapeur? Pareil...
Passe une bonne soirée.
Bise, Michel
Bonjour,
De nos jours on se plaint beaucoup, mais nos aïeux n'avaient pas la vie belle.
Un vie de labeur qui commence déjà par un long trajet pour se rendre à travail car à vélo ou plus tard en mobylette, par totus les temps pas évident.
Bonne fin d'après midi.
Huguette
Un beau four mais que de souffrances pour ton grand-père et ses collègues de travail ! Avec ton article, tu leur rends un bel hommage.
Très bonne soirée et gros bisous
Dur travail à cette époque
Bel hommage
Ce four est bien gardé d'une époque tout de même assez triste
Bonne soirée
Bisous
Bonsoir Annie oui des métiers très dur et salissant et ce four est beau ... ça mon père aussi aller au travail à vélo dur dur bisous belle semaine a+C'est absolument terrible...
Bien désolée pour ton grand-père et ses collègues et amis...
Tes mots résonnent avec force...
Amitiés
Cendrine
Bonjour Annie,
une belle photo pour l'hommage à ton grand-père, la vie avant était très dure, il fallait travailler, on n'avait pas d'aide. Mais est-on plus heureux maintenant ?
Bonne journée.
Ce four de si belle apparence cache en réalité de grandes souffrances pour tous ceux qui ont travaillé auprès de lui.
Nos aïeux ont connu des journées de travail harassantes et sans aucune protection selon leur métier. Nous ne devrions pas l'oublier.Tu ouvres ici une page d'un dur métier pas toujours connu et rends ainsi un bel hommage à ton grand-père.
Merci de l'avoir partagé.
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Ces pauvres gens avaient vraiment une vie difficile et pour gagner quoi?
Bonne journée Annie.
Christian