• Vénus infected

     

    Deux jours de travail à la capitale.

    J'ai pu en profiter pour visiter l'exposition Océanie au Quai Branly où Lisa Reihana se réapproprie  un papier peint panoramique, "Les sauvages de la mer Pacifique", dessiné par Jean Gabriel Charvet en 1804.

    Vénus infected montre comment en fait cette vision idéalisée à été le théâtre de multiple drame.

    Si la poésie est faite pour combattre l'horreur, je n'ai pas réussi à la chanter aujourd'hui.

     

    Vénus infected

     

    Vénus infected

     

     

     

     

    « Vive l'étéDes pensées pour tout l'été »
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  • Commentaires

    1
    Samedi 22 Juin 2019 à 09:46

    Ces deux tableaux donnent bien sûr à réfléchir.....

    Bon début de week-end Annie

    2
    Samedi 22 Juin 2019 à 10:25

    Bonjour Annie,

    Merci pour les deux commentaires que vous avez laissé sur mon blog gothique, revenez quand vous voulez vous êtes la bienvenue.

    Ces tableaux sont beaux mais dramatiques.

    Bon week-end à vous.

    Révérence

    Florence  

      • Samedi 22 Juin 2019 à 18:56

        Dramatique, c'est le mot, mais c'est fait pour.

        A bientôt Marquise.

    3
    Dimanche 23 Juin 2019 à 07:04

    Les bienfaits de la colonisation.  Il y a encore des gens pour le dire, pour le croire.  Quels bienfaits ?  Pour qui les bienfaits ? Pas pour les autochtones qu'on a transformé en esclaves. Travailleurs forcés, machines à donner du plaisir, objets de défoulement. Après tout, ce n'était que des sauvages, des non-humains... 

    Et rajoutons à cela les maladies qu'on leur a apporté. J'imagine que le titre fait aussi référence à tout ça.  

    L'être humain n'est pas bienveillant, il aura passé son temps à créer un monde d'injustice, d'inhumanité, de violence et hélas ça continue encore et encore. 

    Désolée, je pourris un peu ton article par mon commentaire amer. 

    Néanmoins, bon dimanche Annie

      • Dimanche 23 Juin 2019 à 08:00

        Non Pestoune, tu ne pourris pas mon article, car c'est bien de cela qu'il s'agit.

        C'est bien de toute cette infection, dans tous les sens du terme, dont parle cette artiste en replaçant une vision idyllique et erronée dans sa vérité crue et horrible.

        L'être humain ne vaut pas beaucoup plus que les petites bêtes qui s'entredévorent, et encore... Au moins elles, elles ne saccagent pas la terre qui leur a été donnée en héritage.

        Merci de ton intervention.

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